Perspectives d’emploi Électricien/électricienne en construction en Nouvelle-Écosse

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de électricien/électricienne en construction en Nouvelle-Écosse ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés en Nouvelle-Écosse

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 29 novembre 2023.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront bonnes pour les électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) (CNP 72200) en Nouvelle-Écosse pour la période 2023 à 2025.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création de quelques postes
• quelques postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• un certain nombre de travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

La demande d’électriciens industriels dépasse l’offre dans certaines régions de la province, ce qui suggère des perspectives d’embauche favorables pour les chercheurs d’emploi. Ceux qui détiennent déjà le Sceau rouge et l’accréditation ne devraient pas avoir de difficulté à trouver du travail. Les électriciens industriels peuvent être des entrepreneurs indépendants, des membres d’un syndicat ou des employés d’une seule installation industrielle. La pénurie de compagnons pour les superviser pendant leur apprentissage est un obstacle actuel à l’emploi pour les apprentis et ceux qui envisagent de devenir électriciens industriels.

Voici quelques faits saillants au sujet des électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) en Nouvelle-Écosse :

• environ 2 600 personnes occupent un poste dans cette profession
• les électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • construction (SCIAN 23) : 85 %
• 55 % des électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) travaillent toute l'année tandis que 45 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 62 % et 38 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 41 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
• 9 % des électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) sont des travailleurs autonomes, par rapport à 11 % dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : plus de 95 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : moins de 5 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : moins de 5 % par rapport à 10 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 8 % par rapport à 27 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 55 % par rapport à 12 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 32 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : moins de 5 % par rapport à 20 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : moins de 5 % par rapport à 10 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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